
Qui peut être aidé avec la DTMA ?
Sur la page précédente, je vous explique pourquoi j’ai choisi de travailler avec la DTMA (issue de l’EMDR).
Sur cette autre page, la notion de traumatisme psychique vous est expliquée avec le plus grand soin.
Je vais à présent vous énumérer, qui peut être aidé par la DTMA. Il y a certainement d’autres problématiques possibles. Donc, si votre traumatisme ne fait pas partie de cette liste, contactez moi simplement, sans engagement, et je vous répondrai.
Je peux aider avec la D.T.M.A. pour les raisons suivantes :
– Les victimes de deuil quelle que soit la raison de la mort. Qu’il s’agisse d’un suicide (que mon consultant ait trouvé le défunt ou non), mort brutale, accidentelle, maladie…
– Les victimes de guerre ou d’attentat, les militaires ayant été témoins de scènes violentes,…
– Les journalistes de guerre. Toutes ces victimes emmagasinent une multitude d’images très violentes et traumatisantes qui ont un impact sur elles (parfois seulement inconscient).
– Toute victime d’humiliation. Autant la personne qui tombe de l’estrade en pleine réunion, que l’enfant qui subit les moqueries incessantes de son instituteur, ou l’homme qui connaît un « accident intestinal », ainsi que le conférencier qui a un gros trou de mémoire au moment de prendre la parole,…
– Les victimes ou témoins de catastrophes naturelles. Que ce soit de voir sa maison détruite par la tempête ou s’effondrer sous les flammes, d’avoir subi la foudre ou vu quelqu’un le vivre, d’avoir reçu sur la tête une pierre tombée d’une falaise… tous ces évènements peuvent être extrêmement traumatisants et laisser des traces indélébiles chez leurs victimes.
– Les victimes d’adultère. Pour les hommes comme pour les femmes, la douleur est souvent très forte. Elle peut générer de nombreuses émotions, telles que la culpabilité, la honte, la colère, la tristesse, le dépit… Elle entraîne la victime dans une perte d’estime d’elle, ce qui génère un cercle vicieux. Je peux me servir de la DTMA en coaching conjugal si nécessaire.
– Les victimes d’agressions et maltraitances physiques, psychologiques et sexuelles.
Il peut s’agit de victimes d’abus sexuels (attouchements et viols), d’enfants ou d’adultes victimes de harcèlement à l’école ou au travail, des personnes qui sont sous l’emprise de pervers narcissiques.
Cela peut concerner aussi les hommes victimes de panne sexuelle ou ayant déjà vécu une expérience sexuelle malheureuse ou marquante comme un rejet de sa partenaire. En sexologie, la DTMA peut donc faire partie intégrante du programme.
Il en est de même pour les femmes qui peuvent être restées marquées par une expérience sexuelle douloureuse, qui s’est mal passée, en lien ou non avec le partenaire.
– Les proches de victimes en tous genres. Est mise sur le devant de la scène la personne qui a directement été victime du traumatisme, mais pour autant, le frère ou la sœur d’une personne qui a été agressée ou violée, peut aussi vivre cet évènement comme un traumatisme. Et c’est très souvent le cas, même si les parents n’en ont pas toujours conscience.
C’est donc mon rôle de thérapeute que de leur rappeler. Les parents peuvent également avoir besoin d’un accompagnement. Souvent la culpabilité est très présente pour ces personnes situées au second plan et qui vivent très mal de n’avoir rien vu et par conséquent, rien fait.
– Les personnes phobiques. Que ça soit la peur des animaux, des transports, de la foule, de vomir, de l’eau, du sang,… Peu importe que votre consultant ait conscience de l’élément déclencheur ou non. Dans tous les cas, gardez en tête qu’il y en a toujours un, même s’il l’ignore. Et d’ailleurs, parfois cet évènement déclencheur est une mémoire transgénérationnelle ou d’une autre vie, donc il est tout à fait normal que votre consultant ne connaisse pas l’origine de sa phobie. Il est par exemple fréquent de voir des gens avec la peur de manquer, qui sont morts de faim dans une vie passée.
– Les personnes souffrant d’un manque d’estime de soi. À ne pas confondre avec la confiance en soi qui fait référence à nos capacités à faire les choses, l’estime de soi renvoie à l’amour que l’on se porte, a l’image que l’on a de soi. Une personne qui a une faible estime d’elle, a grandi dans un cadre familial qui, au mieux n’a pas été valorisant, avec des parents « neutres » qui ne mettaient pas en valeur l’enfant, et au pire qui a été humiliant, rabaissant, avec un ou les deux parents ou encore un instituteur ou un proche qui dévalorisaient sans cesse l’enfant l’amenant à penser qu’il était une mauvaise personne pas digne d’être aimée.
– Les victimes de maladies. Même si elles sont complètement guéries et que la maladie n’est plus qu’un lointain mauvais souvenir, elle n’en demeure pas moins un souvenir traumatisant qui a pu littéralement changer la vie de votre consultant et son système de croyances. Il sera donc nécessaire de désensibiliser le moment de l’annonce de la pathologie, la phase de traitement ou parfois même l’après.
– Les personnes ayant vu des images choquantes. À l’aire de la technologie dans laquelle nous sommes, il est très facile de tomber par inadvertance sur une vidéo à caractère pornographique ou violent par exemple.
Il arrive également que certains adolescents soient marqués par des films d’horreur, ou des enfants par des films qu’ils ont vu et qui n’étaient pas de leur âge ou par le journal télévisé et ses propos et images parfois très traumatisants pour un enfant.
Que va changer la DTMA dans votre vie concrètement ?
L’utilisation de la DTMA va vous permettre, non pas de changer votre histoire, mais de modifier votre perception par rapport au traumatisme.
La DTMA, au fil de la séance, va neutraliser les émotions désagréables que vous ressentez et ainsi vous amener vers un changement de croyances et de perceptions par rapport à la situation.
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