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Le CBD, une aide au syndrome de l’intestin irritable ?

Syndrome de l’Intestin Irritable

Définition du syndrome du colon irritable

Le Syndrome de l’Intestin Irritable (SII) est aussi appelé Syndrome du Côlon Irritable (SCI) ou colopathie fonctionnelle.

Ces trois appellations désignent toutes un trouble du fonctionnement de l’intestin ou trouble gastro-intestinal (GI) qui se manifeste généralement par des douleurs abdominales, ballonnements, constipations, diarrhées, etc.

Les symptômes du SII sont chroniques avec des périodes alternant fortes crises et accalmies. Même si le SII est en soi sans gravité, c’est une maladie très incommodante et atteint la qualité de vie de la personne. Le SII est parfois, chez certaines personnes, à l’origine d’épisodes dépressifs.

Le SII peut se manifester à tous les âges. Paradoxalement, il peut disparaître et réapparaitre quelques années plus tard.

On note une plus grosse prévalence chez les femmes. On constate que ce syndrome touche particulièrement les pays occidentaux.

En effet, entre 5 et 10 % de la population est concernée par des troubles gastro-intestinaux.

Symptômes du SII

Les principaux symptômes du Syndrome de l’Intestin Irritable sont :

  • Crampes abdominales,
  • Ballonnements,
  • Constipation,
  • Diarrhée

Une personne concernée par le SII subit ces symptômes de manière chronique, fréquemment et intensément.

Il ne s’agit pas constipation ou de diarrhées passagères, mais bien de manifestations chroniques. Le système digestif d’une personne touchée par le SII a devient très sensible avec une réactivité extrême.

Il est difficile d’établir clairement les processus à l’origine du déclenchement du SII, cependant, on peut affirmer que le SII se manifeste par :

  • Un trouble de la motricité intestinale : l’intestin grêle et le côlon n’ont pas un rythme approprié provoquant soit un déplacement des aliments trop rapide (diarrhée) ou trop lent (constipation). Il y a alors une modification de la fréquence des selles.
  • Une modification de la consistance des selles (molles ou grumeleuses ou dures).
  • La présence de mucus dans les selles et la sensation d’évacuation incomplète après l’exonération.
  • Une sensibilité intestinale anormale provoquant de la douleur (crampes au niveau du bas de l’abdomen).
  • Des micro-inflammations intestinales et des anomalies de la flore bactérienne (microbiote) digestive pouvant augmenter la production de gaz digestifs. Des patientes ont également souligné l’inconfort pendant les rapports sexuels.

Pendant des années les manifestations incommodantes des SII ont été associées aux colites spasmodiques, aux névroses coliques ou bien encore aux troubles du côlon irritable.

Ces nominations sont en fait trompeuses car le SII ne se cantonne pas au côlon ou au gros intestin.

Le SII n’est pas une simple inflammation du tube digestif. Il peut y avoir une inflammation, mais elle est bien souvent conséquente du SII et non l’inverse.

Tous ces symptômes entraînent une répercussion directe sur la vie en société.

Au-delà des douleurs lors des crises, le SII crée également un mal-être à l’extérieur notamment lorsqu’il est nécessaire d’aller à la selle trop fréquemment dans des environnements, circonstances gênantes.

Les différents syndromes de l’intestin irritable

Le SII est divisé en 3 sous-groupes. Cette division est basée sur la consistance des selles.

SII-D : syndrome de l’intestin irritable de type diarrhéique. Ici, les diarrhées sont prédominantes. Les contractions de l’appareil digestif sont rapides et entrainent des selles fréquentes et liquides (diarrhées).

SII-C : syndrome de l’intestin irritable à constipation prédominante. Dans ce cas, la constipation est prédominante. Les contractions de l’appareil digestif sont lentes, cela retarde le transit. Les selles sont dures

SII-M : syndrome de l’intestin irritable de type mixte diarrhées et constipation. La durée de transit des aliments dans l’appareil digestif varie. Diarrhée et constipation alternent.

Évolution du syndrome de l’intestin irritable

Plusieurs complications sont à noter quand une personne souffre d’un SII.

Celle-ci peut développer :

  • Des maux de tête,
  • Troubles du sommeil,
  • Flatulences,
  • Nausées,
  • La fibromyalgie,
  • Courbatures musculaires ;
  • La cystite interstitielle ou syndrome de vessie douloureuse,
  • Le syndrome de fatigue chronique, difficultés de concentration ;
  • D’autres troubles digestifs comme la dyspepsie (difficulté à digérer), reflux gastro-œsophagien…

On peut noter que le SII n’a pas de répercussion directe sur l’espérance de vie.

Diagnostic du SII

Le principal problème du SII est le diagnostic.

En règle générale, les personnes touchées par le SII semblent être en bonne santé. Il n’y a pas d’examen médical précis pouvant confirmer ou infirmer la présence ou non de ce symptôme. Pour établir un diagnostic précis, il faut étayer la piste d’un SII en suivant tout un faisceau d’indices.

  • La première étape consiste à faire une évaluation sur la base des critères de Rome.
  • La seconde étape repose sur des analyses médicales et des examens d’imagerie (échographie, radiographies des intestins, coloscopie) pour écarter d’autres troubles tels que maladie de Crohn, d’une rectocolite hémorragique, d’un cancer, etc.
  • Troisième étape : une batterie de test est réalisée sur les intolérances alimentaires.
  • Quatrième étape : l’entretien pour établir l’état émotionnel du patient, cela permet d’identifier un état de stress, d’anxiété ou des troubles de l’humeur qui ont un impact direct sur le déclenchement des symptômes du syndrome de l’intestin irritable.

Les causes du SII

L’étiologie du SII n’est pas explicite.

Il est probable que le développement d’un syndrome de l’intestin irritable n’est pas dû à une cause, mais plutôt à une interaction multifactorielle.

Certains facteurs semblent fortement influencer le développement des symptômes liés au SII :

  • L’hypersensibilité neurologique dans les nerfs GI (entériques)
  • Le stress physique ou émotionnel
  • Les problèmes alimentaires tels que les allergies ou les intolérances alimentaires ou encore les mauvaises habitudes alimentaires.
  • L’utilisation d’antibiotiques systémiques pour une infection GI
  • La malabsorption des acides biliaires
  • La quantité ou les habitudes d’exercice physique
  • L ’absorption chronique d’alcool
  • Les anomalies des sécrétions GI ou des contractions des muscles digestifs (péristaltisme), etc.

Les traitements du SII

Le traitement d’un syndrome de l’intestin irritable varie d’un patient à un autre.

Si certains facteurs sont identifiés (des facteurs alimentaires par exemple) il va de soi qu’il faut les éviter.

Un autre aspect est à prendre en considération : le temps. En effet, pour que l’intestin reprenne un fonctionnement normal, il est nécessaire d’être patient.

Régime alimentaire du SII

Un régime alimentaire strict doit être mis en place et prenant soin d’éliminer petit à petit chaque aliment ou composant pouvant participer aux symptômes du SII.

Les FODMAP

On peut réduire les symptômes de SII en limitant la consommation d’aliments riches en certains glucides appelés oligosaccharides, disaccharides, monosaccharides et polyols fermentescibles. Ces aliments sont communément appelés FODMAP.

Les FODMAP sont des glucides mal absorbés et rapidement fermentés par les bactéries se trouvant dans l’intestin grêle. Ce qui entraîne une augmentation des flatulences et de la gêne abdominale.

Un régime pauvre en FODMAP peut ainsi être privilégié.

  • Le sorbitol

Le sorbitol, un édulcorant artificiel utilisé dans certains aliments, médicaments et chewing-gums, ne doit pas être consommé en grande quantité.

  • Le fructose

C’est un constituant courant des fruits, des baies et de certaines plantes, il ne doit être consommé qu’en petites quantités.

  • Le lactose

Un certain nombre de personnes atteintes du SII ne digèrent pas le sucre appelé lactose. Les produits laitiers doivent être consommés avec modération.

  • Les fibres

La constipation peut être soulagée avec un régime riche en fibre.

Médicaments pour le SII

Les médicaments classiques de la médecine moderne ne font que s’attaquer généralement à un symptôme précis, à défaut de connaitre l’origine de la maladie.

  • Pour les douleurs abdominales :

Analgésiques pour soulager la douleur abdominale

Antidépresseurs

Antispasmodiques

Opioïdes entériques

Antagoniste du calcium

Antibiotique sélectif à l’appareil

  • Pour les ballonnements (gaz intestinaux) :

Anti-flatulents

Agoniste du récepteur de la guanylate cyclase de type Cl

Antibiotique sélectif à l’appareil digestif

  • Pour la constipation

Agents de masse (son, graines de psyllium ou dérivés d’enveloppes d’ispaghula)

Antagoniste du calcium sélectif à l’appareil

Laxatifs

  • Pour la diarrhée :

Antagoniste du calcium sélectif à l’appareil

Antidiarrhéiques (groupe 1 et groupe 2). Modifient l’activité musculaire de l’intestin, ralentissant la durée de transit de son contenu

Antispasmodiques sulfate d’hyoscyamine

Sels biliaires liants, etc

Voyons à présent, si le CBD peut réellement aider à soulager les symptômes du SII.

Le CBD et le Syndrome de l’Intestin Irritable

Les recherches sur le CBD sont assez récentes, mais les avancées sont notables concernant les bienfaits du CBD sur de nombreuses pathologies et notamment celles de la famille des affections gastro-intestinales.

On sait d’aujourd’hui que les cannabinoïdes fonctionnent en interagissant avec un système complexe du corps qui porte le nom de système endocannabinoïde (SEC). Le corps produit naturellement une famille de neurotransmetteurs appelés endocannabinoïdes, qui interagissent avec des récepteurs situés dans le cerveau, les muscles, la graisse et le tube digestif. Ces récepteurs portent les noms de récepteur cannabinoïde de type 1 (CB1) et de récepteur cannabinoïde de type 2 (CB2).

Le système endocannabinoïde (SEC) joue un rôle prépondérant dans de nombreuses maladies inflammatoires de l’intestin telles que la maladie de Crohn, la colite ulcéreuse.

LE SYSTÈME ENDOCANNABINOÏDE

C’est grâce à cet ensemble de récepteurs autour du système nerveux central que le CBD agit globalement.

Le système endocannabinoïde consiste en un ensemble de neurotransmetteurs et neurorécepteurs présents dans le système nerveux et joue un rôle essentiel dans des processus physiologiques divers

CBD et les différents SII

Comme je l’ai souligné plus haut, il existe différents syndromes de l’Intestin Irritable : le SII-D de type diarrhéique, le SII-C à constipation prédominante et le SII-M alternance de diarrhées et de constipation.

Or, le CBD semble profitable en premier lieu aux patients concernés par le SII-D (diarrhéique).

En effet, le CBD permettrait, selon certaines études, de ralentir la contraction musculaire dans le tube digestif.

Les personnes concernées par un SII-C (constipation) peuvent malgré tout profiter du CBD en raison des propriétés anti-inflammatoires, et immunostimulantes du CBD.

Enfin, les personnes concernées par un SII-M (alternance diarrhées et constipation) pourront également trouver un intérêt par l’effet conjugué du CBD.

Attention, le CBD ne doit pas être considéré pour autant comme un traitement miracle contre le SII. Le CBD fait partie de l’arsenal pouvant lutter efficacement contre les symptômes courants SII.

Les SII sont souvent la conséquence d’un mode de vie donné. Et il est alors nécessaire pour les patients de changer leurs habitudes alimentaires et d’augmenter les activités physiques. Sans cela, les apports du CBD seront moindres voire inexistants. 

De fait, le CBD est un adjuvant nécessaire pour diminuer ou faire disparaitre nombre de symptômes de ramener l’équilibre dans un corps engoncé dans des disharmonies fonctionnelles.

En effet, lorsque le système immunitaire ne parvient pas à éliminer une bactérie, il forme des amas de cellules immunitaires autour de cette bactérie, aggravant ainsi l’inflammation.

CBD, SII et homéostasie 

Les endocannabinoïdes et leurs récepteurs (CB1 et CB2) sont omniprésents dans l’organisme. Leur fonction est primordiale. Elle consiste à maintenir une stabilité de l’environnement interne malgré les sollicitations de l’environnement extérieur. De fait, les endocannabinoïdes régissent l’homéostasie. Il s’agit d’un système complexe qui participe à réguler un nombre très étendu de processus physiologiques. L’homéostasie participe à tous les aspects de la vie – de la température corporelle à la sécrétion d’enzymes digestives. Tout problème d’homéostasie ou concernant son équilibre peut nuire à la santé.

Le CBD, à travers le système endocannabinoïde participe justement à un retour à un équilibre physiologique et il peut ainsi participer à réguler l’hypersensibilité viscérale.

L’hypersensibilité viscérale et les cannabinoïdes

L’hypersensibilité viscérale est le nom donné aux troubles fonctionnels intestinaux. C’est une pathologie qui révèle l’arrivée d’une douleur provoquée par une hypersensibilité à la distension de l’intestin au cours de la digestion. C’est évènement douloureux n’est pas présent chez un sujet sain.

Or, plusieurs études ont montré que ces troubles moteurs intestinaux pouvaient être amoindris grâce à l’introduction de cannabinoïdes. Cela permet entre autres de diminuer l’hypersensibilité viscérale à la distension.

Source : Wong BS, Camilleri M, Busciglio I, Carlson P, Szarka LA, Burton D, et al. Pharmacogenetic trial of a cannabinoid agonist shows reduced fasting colonic motility in patients with non-constipated irritable bowel syndrome. Gastroenterology. 2011 ; 141 : 1638-1647.e1-7.

CBD et douleurs

Nombre de patients soulignent que les symptômes liés au SII s’accompagnent bien souvent de douleurs abdominales. Ces douleurs sont pour certains passagères, pour d’autres, plus permanentes.

Dans tous les cas, elles participent à diminuer la qualité de vie et contribuent bien à souvent à augmenter la fatigue et le mal-être et la prise d’antalgiques classiques à répétition.

La prise de CBD permet, de plusieurs façons, de diminuer la sensation de douleur. Soit avec une action anti-inflammatoire en ciblant les cytokines, soit en inhibant la sensibilité des récepteurs du message nerveux.

A l’inverse d’un antalgique ou anti-inflammatoire classique qui peut présenter, à long terme des effets secondaires notables, le CBD offre une alternative efficace et naturelle qui a déjà fait ses preuves dans le traitement de la douleur de nombreuses autres maladies telles que les douleurs neuropathiques, maladie de Crohn, arthritearthrosemigraines, etc. 

CBD et Gestion du stress

La gestion au quotidien des symptômes liés au syndrome de l’intestin irritable, en raison entre autres de leur nature imprévisible, et gênante, peuvent conduire à des hauts niveaux d’anxiété ou de stress.

Cette préoccupation majeure participe à une diminution du sentiment de bien-être et à parfois des répercussions sur la vie en société. Or, la prise de CBD permet une meilleure gestion du stress. Ainsi dans une étude portant sur le CBD et le traitement de troubles anxieux, il est apparu que la prise régulière de cannabidiol participait activement à la diminution voire à la disparition de nombreux symptômes liés aux troubles anxieux. Cela permet de se sentir mieux, de reprendre le contrôle et de surmonter les moments difficiles ou les déprimes passagères.

Source : Le cannabidiol comme traitement potentiel des troubles anxieux. Bénédiction EM, Steenkamp MM, Manzanares J, Marmar CR. Neurothérapeutique. 2015

Il se peut que vous soyez intéressé(e) par le CBD et que vous suivez un traitement. Vérifiez au préalable la compatibilité du CBD avec votre traitement et les possibles interactions médicamenteuses .

À retenir

Le nombre de personnes concernées par le Syndrome de l’Intestin Irritable (SII) ne cesse de croître, surtout chez les femmes, en Occident.

Si les raisons de cette augmentation se dessinent de plus en plus, la gestion des symptômes demeurent pour beaucoup problématique.

Le CBD est depuis peu une nouvelle piste qui permet en de nombreux points de répondre aux symptômes du SII.

Le CBD apparait donc comme un allié potentiel dans la lutte contre les effets délétères du syndrome de l’intestin irritable.

Cependant, l’action du CBD ne peut être auto-suffisante. Elle doit évidemment être conjuguée avec des changements significatifs de mode de vie et d’alimentation.

Sources : Article rédigé par la Team Cbdissimo

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Confidences d’une sexologue

Les Français se disent épanouis d’après certaines études.

Pourtant, d’après l’avis des sexologues, en général, ce n’est pas si évident que cela.

En effet, il en ressort qu’un tiers des couples n’aurait jamais de relations ou presque.

Dans un autre tiers, l’un des partenaires est frustré.

D’où le nombre croissant de consultations.

Mais quelles sont-elles ces difficultés dévoilées dans le secret de la consultation ?

Je vous dévoile ici quelques confidences :

La 1ère plainte constatée en sexologie est l’absence de désir

Tous les sexologues vous l’affirmeront : Aujourd’hui, c’est l’absence de désir qui constitue la première cause de consultation en sexologie.
 » Il y a une dizaine d’années, les femmes venaient surtout nous voir car elles se plaignaient de vaginisme (contraction involontaire des muscles de leur vagin rendant toute pénétration impossible).

Et les hommes consultaient pour éjaculation précoce (éjaculation systématique en moins d’une minute).

A présent, nos consultants se plaignent en majorité, ou en tout cas beaucoup plus souvent, d’un manque de désir.

Nombreux sont les couples qui ont des relations sexuelles très espacées : une fois par mois, voire moins.

Certains s’en adaptent très bien. D’autres pas.

Ce sont ceux-là qui consultent dans mon cabinet chez Hémassens : des partenaires aux désirs différents ou n’étant pas sur la même longueur d’onde ou qui, ayant cessé parfois même, toute relation sexuelle, s’inquiètent de l’avenir de leur couple.

Pourquoi rencontre-t-on cette défaillance du désir ?

C’est vrai que la sexualité de chacun a besoin de temps.

Du temps pour s’approcher, se connaître, et pour jouer.

Du temps pas forcément pour le sexe, mais pour se parler, se séduire…

Faut-il en conclure que le désir était plus heureux autrefois ? Pas forcément. Car avant, on en parlait beaucoup moins qu’aujourd’hui.

Et lorsque le désir s’effilochait, personne n’osait se plaindre. Aujourd’hui, avoir des relations sexuelles satisfaisantes est devenu la référence la plus importante de la réussite du couple.

Quand ce n’est pas le cas, les partenaires s’inquiètent : « Sommes-nous normaux ? »

Complexés aussi pour la plupart, ils veulent ressembler à l’image du couple épanoui, que l’on voit partout les médias.


Mais tous les couples ne le vivent pas forcément avec frustration fort heureusement et la plupart réussissent à se réorganiser autrement.

Car l’intérêt de certains couples semble différent, et peut les diriger, seuls ou à deux, dans une vie de passion non sexuelle qui s’installe et vient combler l’absence de désir.

Les hommes sont plus angoissés

Les secondes plaintes en sexologie constatées, ici chez Hémassens, sont les troubles sexuels masculins, notamment l’éjaculation précoce et les difficultés d’érection.

Plus précisément, lors de mes séances en sexologie, je constate qu’un homme sur deux consulte pour éjaculation précoce. Et cette constatation s’est considérablement confirmée au cours des dernières années.

Je tiens toujours à préciser que ce n’est, en aucun cas , une maladie, mais un symptôme d’angoisse.

Il s’est d’ailleurs largement étendu lors de la montée du féminisme, il y a quelques années.

Remis en cause, jugés, attendus au tournant, de nombreux hommes sont aujourd’hui « terrorisés » à l’idée de ne pas être « performants ».

La « pression » est telle, pour certains d’entre eux, que je n’emploie pas le mot « terrorisés » à la légère, croyez-moi !

Les difficultés du couple évoluent

Cette pathologie aurait-elle progressé au fil des années ? Je n’en suis pas si sûre.

Car si les hommes sont plus nombreux à consulter aujourd’hui, c’est surtout parce que leur compagne les y encourage grandement.

Car, en effet, il y a encore 10 ans, les femmes ne disaient rien.

A présent, elles osent se plaindre.

Et les plus jeunes d’entre elles, le font heureusement sans aucune agressivité, voire même dans un esprit très constructif.

Ainsi, elles peuvent dire à leur partenaire : « S’il n’y avait pas ce petit problème, ce serait vraiment génial, alors ce serait bien que tu fasses quelque chose. Si tu veux, nous allons chercher ensemble une adresse d’un sexologue qui pourra t’aider. »

Et ainsi incités ou non par leur compagne, les hommes osent davantage consulter, même seuls. Et souvent, ils téléphonent eux-mêmes pour prendre rendez-vous. Ce qui ne se voyait jamais, il y a encore quelques années !

Les journaux féminins, également lus par les hommes, y sont sans doute pour beaucoup dans cette évolution.

De même, l’arrivée du Viagra, il y a quelques années maintenant, a amené en consultation, une quantité d’hommes en détresse qui ne s’exprimaient pas auparavant parce qu’ils pensaient leur problème sans solution.

Car jusqu’alors, tous ceux qui souffraient de troubles érectiles étaient résignés et honteux. Aujourd’hui, le Viagra fait partie intégrante des outils (comme les psychothérapies d’ailleurs) qui vont permettre de faire redémarrer leur sexualité.

Tous ces progrès ont été une grande innovation dans un domaine où il n’y avait rien autrefois ! C’est aussi un nouvel espoir pour les femmes qui attendent qu’on trouve quelque chose d’analogue pour elles.

Les femmes sont moins stressées par rapport au sexe

Une patiente sur deux se plaint d’anorgasmie (impossibilité d’avoir des orgasmes).

En revanche, le vaginisme, autrefois très fréquent, est en voie de régression.

La raison en est que les femmes sont moins stressées lors des premiers rapports.

Néanmoins, il faut tout de même souligner que cette pathologie n’a pas disparu totalement.

Il m’est encore arriver de voir certains cas, comme cette jeune femme de 25 ans, mariée depuis quatre ans et toujours vierge parce que son mariage n’avait pu être consommé.

Informations sur la sexualité

Toutefois, on peut se rendre aussi chez un conseiller en sexologie pour des questions qu’on n’ose poser à personne, parce qu’elles semblent stupides ou trop intimes.

Des questions comme : « Mon sexe est-il de taille normale ? Comment fait-on pour se masturber ? Où se situe mon point G ? C’est quoi une femme fontaine ? Doit-on utiliser des sextoys ? Le plaisir anal c’est mal ? Etc…

Ou encore, des jeunes filles qui ne réussissent pas à mettre un tampon peuvent très bien demander à un thérapeute de leur apprendre.

Madame est jeune maman avant tout, monsieur s’impatiente…

De plus, on peut constater que de nombreuses consultations en sexologie ont lieu dans les deux à trois ans qui suivent un accouchement.

On le sait, l’arrivée d’un enfant peut être vécue comme un véritable bouleversement pour le couple. C’est un exemple classique.

Car dans certains cas, madame s’occupe tellement du bébé qu’elle n’a plus envie de faire l’amour. Monsieur se montre patient au départ. Mais par la suite, si cela s’éternise, il s’énerve et insiste.

Hélas, plus monsieur insiste, moins madame a envie.

La finalité de ces comportements est que leurs relations sexuelles s’espacent et des difficultés de communication de tous ordres peuvent s’installer.
Et je peux vous affirmer dans ma pratique en sexologie, que c’est dans le cadre du couple installé avec enfants que le « désert sexuel » est le plus grand.

Car le couple devient « papa-maman ».

Or on ne traite pas son épouse et la mère de son enfant comme on traite une maîtresse.

Pour retrouver le désir, les partenaires doivent réapprendre à faire l’amour, non plus en époux, mais en amants.

Dans ce cas précis, seul un thérapeute en sexologie compétent, saura vous mettre à l’aise, vous donnera même quelques exercices. Ces derniers sont, à l’unanimité, vécus très agréablement et constructifs pour toute relation de couple.

La mauvaise communication au sein du couple

La première fois, Monsieur ou Madame, vient souvent seul(e) en consultation de sexologie.

Mais si conjoint(e) il y a, un bon sexologue demandera presque toujours à le ou la rencontrer.

Un entretien de couple est à mon avis, incontournable.

Car le problème majeur n’est pas tant le sexe, mais la difficulté qu’ont les hommes et les femmes à fonctionner ensemble, à communiquer et à se comprendre.

90 % des problèmes sexuels partent de cette mauvaise communication.

Prenons l’exemple d’un homme qui rencontre un souci d’éjaculation précoce. Il vit ce symptôme comme une maladie honteuse.

Sa femme lui en veut et a fini par refuser tout contact.

Elle se dit : “S’il éjacule vite, c’est parce qu’il est égoïste et qu’il n’en a rien à faire de moi.”

De son côté, son époux se dit : “Si elle me rejette, c’est qu’elle ne m’aime plus.”

Bien sûr, tout cela est faux.

Le leur faire comprendre est un énorme pas en avant.

La première consultation en sexologie consiste à définir le problème et à lever les malentendus. Les symptômes se règlent généralement en quatre séances.

La démarche est difficile

Consulter un sexologue reste toutefois une démarche difficile.

De plus, on franchit ce cap parfois trop tard, alors que la rancœur a fait son nid depuis des années. Et je comprends bien que l’on ait du mal à se décider.

J’ai des consultants qui viennent avec une lettre de leur médecin datant de quatre ou cinq ans. Ou parfois avec les lettres de deux praticiens différents.

En outre, je vous rappelle que les séances de sexologie chez Hémassens ne nécessitent pas d’ordonnance de la part d’un médecin. Vous venez librement, dès que vous en ressentez le besoin.

Je constate également que les jeunes de 20 ans consultent plus facilement un thérapeute en sexologie.

Je suppose que comme les médias les ont informés, pour eux, c’est une démarche plus banale.

Des stratégies pour faire renaître le désir

Tous les spécialistes vous le confirmeront, faire monter le désir, s’apprend.

La diminution du désir dans le temps n’est pas une fatalité. Et des stratégies existent pour le faire renaître.

Et il faut arrêter de croire cette fausse croyance qui existe, et qui est encore très largement partagée :

L’amour doit être magique et se faire naturellement. C’est faux !

Faire l’amour, ça s’apprend, ou ça se réapprend !

Mes consultants ne sont pas « malades ».

Ce sont seulement des personnes exigeantes qui ne renoncent pas à leur qualité de vie amoureuse.

Quant à moi, je ne suis pas médecin, mais plutôt, en quelque sorte « éducatrice ».

Le terme de sexologue est trompeur.

En réalité, un coaching en sexologie concernera plus souvent le relationnel du couple que la sexualité à proprement parlé !

Ce qui revient au même puisqu’un symptôme sexuel est toujours un symptôme relationnel.

Et si vous désirez d’autres informations sur ma pratique en sexologie, n’hésitez pas à lire tous mes articles de cette catégorie.

Christine B.

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Comment traite-t-on la dysfonction sexuelle ?

La plupart des dysfonctions sexuelles peuvent être traitées en agissant sur les problèmes physiques mais aussi psychologiques sous-jacents.

Les stratégies de traitement des dysfonctions érectiles

Avec l’aide de médicaments

Il est possible qu’un médicament soit à l’origine du dysfonctionnement. Un changement de médicament peut aider.

Aussi, une analyse sanguine pour les hommes et les femmes, pourra mettre en avant des déficiences hormonales. (Testostérone ou autre…)

Dans ce cas, ils peuvent bénéficier de pilules ou de crèmes hormonales qui règleront le problème.

  • Pour les hommes, et dans certains cas bien précis, à définir avec votre médecin uniquement, les médicaments, y compris le sildénafil (Viagra®), le tadalafil (Cialis®), le vardénafil (Levitra®, Staxyn®) et l’avanafil (Stendra®) peuvent aider à améliorer la fonction sexuelle en augmentant le flux sanguin vers le pénis.
  • Et pour les femmes, des options hormonales telles que l’œstrogène et la testostérone peuvent être utilisées (bien que ces médicaments ne soient pas approuvés à cette fin).
  • Chez les femmes en pré ménopauses, il existe certains médicaments pour traiter le faible désir, à voir avec votre médecin traitant.

Aides mécaniques

Les aides telles que les appareils à vide (pompes) et les implants péniens peuvent aider certains hommes souffrant de dysfonction érectile (incapacité à obtenir ou à maintenir une érection).

Certains dilatateurs peuvent aider les femmes qui présentent un rétrécissement du vagin.

Entre autre, des appareils comme les vibromasseurs ou les stimulateurs clitoridiens peuvent être utiles pour aider à améliorer le plaisir sexuel et l’orgasme des femmes.

Thérapie sexuelle

Les sexothérapeutes peuvent traiter les personnes ayant des problèmes sexuels qui ne peuvent être traités par leur médecin généraliste.

 Et il est utile de rappeler que ces thérapeutes sont aussi souvent de d’excellents conseillers conjugaux.

Aussi, pour les couples qui veulent bénéficier de relations sexuelles satisfaisantes, ils ont tout intérêt à travailler avec un professionnel compétent.

Traitements comportementaux agissant sur votre sexualité

Les traitements comportementaux en ce qui concerne les dysfonctions érectiles, impliquent diverses techniques, y compris des informations sur les comportements nocifs dans la relation, ou des techniques telles que l’autostimulation pour le traitement des problèmes d’excitation et/ou d’orgasme.

Psychothérapie spécialisée sexualité

Une thérapie avec un conseiller en sexologie qualifié peut vous aider à gérer les traumatismes sexuels du passé, vos sentiments d’anxiété, de peur, de culpabilité et votre mauvaise image corporelle personnelle.

Tous ces facteurs peuvent affecter votre fonction sexuelle. Et il n’y a qu’une thérapie bien menée qui pourra changer les choses.

Éducation et communication sur la sexualité

Une bonne éducation sur la sexualité et ses comportements, peut vous aider à surmonter vos angoisses qui concernent votre fonction sexuelle.

En plus, un dialogue ouvert avec votre partenaire sur vos besoins et vos préoccupations, aide également à surmonter de nombreux obstacles à une vie sexuelle saine.

Un(e) conseiller(ère) en sexologie est le(la) mieux placé(e) pour vous aider à communiquer dans votre couple sur tout ce qui concerne votre sexualité. Ils ou elles ont été formés(es) pour cela.

On ne pense pas encore souvent à les consulter malheureusement.

Les tabous et les croyances, n’aident pas à faire bouger les choses.

Et il faudra encore attendre quelques années avant de les consulter naturellement.

Pourquoi pas, aller cher un(e) thérapeute en sexologie, comme on irait chez notre dentiste pour notre hygiène dentaire ?

Avec ou sans problème existant, vous seriez surpris des choses intéressantes que vous pourriez apprendre en consultant un(e) conseiller(ère) en sexologie !

Et de voir à quel point il est facile d’améliorer votre vie sexuelle ! Et du coup, votre vie de couple, grâce à de bons conseils, simples et avisés !

Vous désirez savoir comment se passe une consultation en sexologie ?

Christine B.

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Relaxations hypnotiques (séances audio)

Séance gratuite de relaxation hypnotique. Accéder à son endroit de ressourcement intérieur. Hémassens Relaxologie

Accéder à son endroit de ressourcement intérieur

(Séance gratuite d’hypnose)

Installez-vous confortablement, un casque et des écouteurs sont conseillés pour cette séance de relaxation hypnotique.

Relaxation hypnotique audio ressourcement intérieur
Relaxation hypnotique ressourcement intérieur
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Pour ou contre les compléments alimentaires ?

Il y en a partout !

Les compléments alimentaires, nous en trouvons aujourd’hui partout !  

En magasin bio, en (para)pharmacie et même au supermarché !

Que ce soient des vitamines pour booster notre système immunitaire, des compléments à base de plantes pour nettoyer notre organisme, des minéraux comme le magnésium ou encore des huiles essentielles, ils sont tous, très demandés.

Et l’offre est si importante que nous sommes en droit de nous interroger !

Comment pouvons-nous, nous y retrouver ?

Lesquels choisir ?

Comment être sûrs de leur qualité ?

Mais pourquoi prendre des compléments alimentaires ?

Nous avons absolument besoin aujourd’hui, de compléter notre alimentation.  Car les compléments alimentaires ont pour objectif d’apporter à notre organisme ce dont il a besoin au quotidien. Et cela, pour son bon fonctionnement.

Nous pouvons donc, nettoyer notre organisme avec des compléments alimentaires à base de plantes. Ou même, combler certaines carences, notamment en minéraux et vitamines.

Nous sommes absolument tous carencés

Nos rythmes et hygiène de vie ne favorisent pas une bonne santé.

Et plus nous nous modernisons, plus nous sommes carencés ! Car c’est notre hygiène de vie et notre hygiène alimentaire qui ont tendance à nous fragiliser. L’alimentation industrielle, la pollution, le stress et les produits chimiques, tout ceci encrasse fortement notre organisme.

Notre alimentation est ultraraffinée et industrialisée

Que sont devenues les qualités nutritionnelles de nos aliments ?

Pâtes et riz blanc, céréales, farines et pains blancs, sucre blanc…

En plus, nous ne consommons plus assez de fruits et de légumes, et ceux que nous consommons, sont souvent importés, (même les biologiques) ayant subis une récolte prématurée et de longs voyages, ce qui explique leurs limites au niveau de leur qualité nutritionnelle.

Trop d’excès, par exemple de viande, au détriment du poisson qui contient pourtant ces fameux Omega 3 dont on parle régulièrement.

Nous sommes sédentaires et ne faisons pas assez d’exercice physique

Nous sommes des assistés : Escaliers roulants, ascenseurs ou encore voitures, participent au manque d’exercice physique. Ce qui a tendance à encrasser notre organisme par une insuffisance d’élimination de nos toxines.

On nous répète pourtant assez que c’est l’exercice physique qui permet le mieux d’ouvrir nos émonctoires, vous savez, ces organes responsables de l’élimination des déchets de l’organisme !

Quelle qualité choisir pour nos compléments alimentaires ?

Certains laboratoires proposent des compléments alimentaires à base de plantes. Mais cela ne signifie pas tout-à-fait 100% naturels.  Car ils sont synthétisés (vitamine C, magnésium…).

Et il est primordial de choisir des produits naturels, et si possible Bio, en magasin spécialisés Bio.

Mais à quels laboratoires peut-on faire confiance ?

Mes conseils pour trouver de bons laboratoires :

Nous pouvons faire confiance aux laboratoires qui nous fournissent des fiches-produits très détaillées signe qu’ils assurent une très grande transparence.

Nous nous renseignons ainsi sur tous les ingrédients utilisés. Et nous pourrons ainsi éviter certains problèmes. Regardez bien la composition des gélules ! Il n’est pas rare qu’elles soient composées d’additifs que vous pourriez ne pas tolérer ! Privilégiez les gélules en pullulan (tapioca).

Il y a un site très bien fait pour se renseigner sur la nocivité des additifs : ici

Certains laboratoires militent activement pour la préservation de l’environnement, privilégiez-les.

Ils ont en plus, en général, une politique écologique qui leur permet aussi de garantir la qualité de leurs flacons, non seulement sans bisphénol A mais aussi sans bisphénol S et sans aucun perturbateur endocrinien. Et ils utilisent des matériaux écologiques, biodégradables et compostables.

Je ne vous en ferai pas une liste ici, ne voulant pas privilégier un labo plus qu’un autre. Ce n’est pas l’objet de cet article, préférant vous laisser responsables de vos recherches.

Les professionnels sont là pour vous conseiller

Les employés de magasins Bios sont de mieux en mieux formés.

N’hésitez pas à leur poser vos questions, et les naturopathes (pour un conseil personnalisé), sont là pour vous guider et vous conseiller.

Bien entendu dans le cadre d’un programme d’hygiène vitale personnalisé, la prise de compléments alimentaires se fera en fonction de vos carences.

Mais aussi de votre personnalité, de votre façon de fonctionner, de votre hygiène de vie. Et seul un bilan naturopathique permettra au praticien de santé de personnaliser votre traitement, en ciblant les carences à combler.

Si vous avez besoin de conseils naturopathiques, voyez ici comment se passe une consultation en naturopathie ?

Pensez à la « cure de revitalisation » Bio !

Celle-ci permet de combler certaines carences avec des compléments naturels :

  • Magnésium, (plutôt taurate et malate de magnésium) associée à de la vitamine B6 pour mieux le fixer. Pour lutter contre le stress, la dépression, pour retrouver le sommeil…
  • Probiotiques, pour restaurer la flore intestinale, mieux digérer et booster l’immunité.
  • Vitamine C, antioxydante, vitamine miracle anti-fatigue (Acérola…)
  • Vitamine B, qui participe à la nutrition du système nerveux, pour être moins fatigué, plus vigoureux.
  • Acides gras essentiels, pour une bonne santé du système cardio vasculaire, pour lutter contre les allergies, les inflammations, le cholestérol…
  • Vitamines D pour la qualité de vos os et de vos muscles et pour votre immunité

La « cure de détoxination » se réalise principalement avec des drainages notamment grâce aux plantes :

L’objectif sera alors de nettoyer l’organisme. Il s’agit bien d’une cure ! Donc à faire de temps en temps ! Les drainages sont en règle générale plus efficaces avec des extraits de plantes liquides plutôt qu’en gélules et se trouvent facilement en ampoules à diluer dans une bouteille d’eau à boire tout au long de la journée sur une période le plus souvent de 3 semaines environ. On peut aussi trouver et utiliser ces plantes en teinture-mère (TM), en Tisane, en Extrait Sec…

  • Radis noir, artichaut, romarin, pissenlit pour nettoyer le foie
  • Aubier de tilleul, bouleau, reine des prés pour les reins
  • Psyllium, mauve, guimauve, lin pour les intestins
  • Bardane, en tisane, TM, extrait sec… pour tous les problèmes de peau
  • Eucalyptus (radiata et globulus) pour les poumons

Mais surtout, demandez des conseils à des praticiens de santé naturopathe. Ne prenez pas tout et n’importe quoi sous prétexte qu’ils sont en vente libre !

Les compléments alimentaires devraient faire partie de notre quotidien

C’est ce que l’on appelle de la prévention santé. Les compléments alimentaires naturels amènent à l’organisme, ce dont il a besoin, et qu’il ne trouve pas dans notre alimentation. Si nous ne respectons pas ces apports, certaines carences ou une perte de vitalité, peuvent malheureusement apparaître.

Ne tirez pas sur la corde, privilégiez votre santé au lieu de la maladie.

Christine B.

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Une panne sexuelle chez votre partenaire masculin ?

Nous avons vu précédemment Quelle place a la femme face aux troubles sexuels masculins ? et Comment les femmes vivent-elles les difficultés sexuelles de leur partenaire masculin ? Poursuivons avec un autre dysfonctionnement :

2) L’éjaculation prématurée

Au début de la relation, l’éjaculation prématurée va être assimilée au fait que le partenaire a beaucoup de désir, ce qui reste plutôt flatteur pour la femme qui pourra alors se dire : « Je suis très excitante, il ne me résiste pas. »
Puis, très vite apparaitront de la frustration ainsi que des pensées interprétatives : « Il ne pense qu’à lui et ne fait pas d’efforts pour mon plaisir. »
En plus « Il est trop fier pour en parler ».

La plupart du temps, l’homme qui souffre d’éjaculation prématurée n’en parle pas. Il souffre d’un sentiment de honte et de culpabilité avec des pensées invalidantes : « Je n’arrive pas à donner du plaisir à ma partenaire » / « Je ne suis pas un homme » / « Elle va aller chercher du plaisir ailleurs » etc.

Il faut souligner que certains couples peuvent fonctionnent bien avec un partenaire qui éjacule rapidement. C’est le cas par exemple dans les couples où la femme ne préfère pas avoir de rapports trop longs à cause de dyspareunies ou de troubles de la lubrification.

3) L’éjaculation retardée, anorgasmie

Assez peu répandu, ce trouble est, de manière générale, bien toléré par les deux partenaires. Il entraîne du plaisir pour la femme et maintient le fantasme de performance de durée pour l’homme. 

Cependant, cette situation pourra entraîner une plainte lorsqu’il y aura un désir de parentalité avec des pensées (parfois avérées) : « Il ne souhaite finalement pas avoir d’enfant ». Cela entrainant des tensions dans le couple.

Une dysfonction sexuelle masculine qui cache une dysfonction sexuelle féminine : cause ou conséquence ?

En moyenne, suivant les études, la moitié des femmes dont le partenaire souffre d’un problème d’érection évoquent des troubles du désir, du plaisir et des phénomènes douloureux lors des rapports.
Parfois le trouble n’est que la face visible de conflits beaucoup plus profonds. C’est pourquoi il est important de prendre en compte l’histoire sexuelle de la femme et d’être à l’écoute de son vécu vis-à-vis de son partenaire et de son trouble.


Être attentif à la santé sexuelle de la femme du couple et traiter son trouble si besoin, aura une influence sur la situation.

Attitudes thérapeutiques à adopter vis-à-vis de la femme

C’est souvent la femme qui encourage l’homme à consulter et le recours au médicaments est perçu de manière plutôt positive chez les femmes en ayant déjà fait l’expérience.

Il est nécessaire de rassurer le couple, en particulier en ce qui concerne les traitements médicamenteux et leurs effets.

On rassure la partenaire sur son rôle stimulant malgré les médicaments sexo-actifs.


On informe, on réexplique le fonctionnement du corps masculin, les particularités de celui de la femme, la différence entre le désir, qui est cérébral, et l’excitation, qui est une réaction anatomique etc…

MA CONCLUSION

Face à la dysfonction sexuelle de leur partenaire, la majorité des femmes souffrent plutôt de l’absence de communication au sein de leur couple que des conséquences du trouble lui-même, sur leur sexualité.
L’attitude de l’homme confronté à une dysfonction sexuelle reste un facteur déterminant dans l’évaluation de la satisfaction sexuelle et du bien-être général de la femme.
Chacun a son rôle à jouer pour améliorer la qualité relationnelle au sein de son couple.
La femme a ainsi une place essentielle à prendre dans l’évolution du trouble sexuel de l’homme.

Vous rencontrez un problème de cet ordre ? Appelez-moi pour en parler et réserver une séance, en Visio ou présentiel au 06 65 56 84 08.

Christine B.

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Les femmes et les difficultés sexuelles de leur partenaire masculin ?

Nous venons de voir dans l’article précédent, quelle place a la femme face aux troubles sexuels masculins.

Mais il est également important de noter qu’une dysfonction sexuelle féminine peut aussi jouer un rôle dans l’origine ou l’entretien d’un trouble sexuel chez l’homme.

C’est le cas, notamment, lorsque celle-ci est liée à un évènement de la vie génitale de la femme (grossesse, post-partum, ménopause, maladie…).

En pratique, la prise en compte des deux partenaires permettra une appréciation plus juste du trouble et une approche thérapeutique mieux adaptée.

1) La dysfonction érectile

Une femme sur quatre de moins de 65 ans a déjà vécue la « panne » d’érection de son partenaire.

Les réactions sont différentes en fonction de l’âge, de la longévité du couple et de la fréquence des « pannes ».

  • 98% des femmes estiment qu’il s’agit d’un évènement banal et naturel qui peut arriver à tout homme un jour ou l’autre.
  • Lorsque cela arrive, les femmes sont en général plutôt rassurantes et stimulantes : 92% rassurent leur partenaire, 78% s’efforcent de le stimuler et 60% l’incitent à continuer autrement.
  • 24% vont, quant à elles, se sentir agacées et frustrées.
  • 66% estiment que l’attitude de leur partenaire est de nature à renforcer la dysfonction (insistance, repli, évitement, absence de dialogue).
  • Enfin, le plus difficile pour 47% d’entre elles, est l’attitude de l’homme face à une panne : retrait, énervement ou culpabilisation excessive.

Comme le montre l’étude de Marie-Hélène COLSON, l’une des causes de la souffrance chez la femme est le manque de communication (18%) et de caresses pour compenser, (18%) bien plus que l’absence de pénétration (3%) ou de rapport abouti.

Le repli sur soi de l’homme confronté à la DE mais également, son incapacité à renouer du lien affectif ou sensuel et à créer un dialogue, est une réelle difficulté pour le couple.

Son enquête, menée auprès de 507 femmes, révèle une différence significative dans la satisfaction sexuelle et l’état de bien-être général chez la femme, en fonction de la qualité de la communication du couple à propos du trouble sexuel de l’homme.

Si l’homme cherche à en parler (36%), sa partenaire aura tendance à banaliser la difficulté (37%).

Elle l’attribuera plus facilement à un surmenage (33%). Ou elle se dira plutôt satisfaite ou très satisfaite de sa sexualité (76%).

Elle dira qu’elle n’en souffre pas (75%). Mais aussi, elle l’incitera plus facilement à aller consulter un médecin (66%). 

En revanche, s’il n’en parle pas (64%), elle attribuera la DE à un manque de désir (65%), et se déclarera peu satisfaite de sa sexualité (68%), surtout si l’absence de communication se double d’un repli sur soi ou d’agressivité. Elle dira alors plus facilement qu’elle en souffre (78%).

COLSON M.H., Les femmes face à la dysfonction érectile : problème d’homme, regards de femme.

Ainsi, suivant la réaction de son partenaire, la femme, confrontée à la dysfonction érectile masculine, peut avoir un discours dépréciatif (tel que : « Il ne me désire plus. », « Il ne m’aime plus », « Je ne sais pas m’y prendre ») et une baisse d’estime de soi, surtout lorsqu’il y a une confusion entre le désir masculin et l’excitation physiologique qui se traduit par l’érection.

L’homme, quant à lui, vit une situation angoissante qui se manifeste par une perte de confiance en soi, un repli sur soi, des angoisses d’anticipation de l’échec, une sexualité vécue comme une performance ratée, et, surtout par une perte de son identité virile.
Ces ressentis vont entrainer des réactions négatives comme un retrait de la relation, un isolement, un manque de communication, une irritabilité, des comportements violents, des tentatives de déplacements du problème. 

Nombreux sont les hommes qui refusent de consulter par gène, honte ou fausses croyances, telles que : « c’est irréversible (avec l’âge) ».

De plus, on remarque que les désirs et les attentes de la partenaire sont mal connues ou mal évaluées, avec des pensées négatives comme ce qui suit :
« Je ne suis pas un homme » « Je ne satisfais plus ma partenaire. » « Elle va me trouver nul. »   « Elle va aller voir ailleurs. » ou bien « Je devrais aller voir si ça fonctionne ailleurs ? ».

Alors que nous avons vu que la partenaire est en attente de communication et de gestes affectueux, sans pénétration.

Nous verrons dans l’article suivant, les cas de l’éjaculation prématurée ainsi que l’éjaculation retardée et anorgasmie.

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Quelle place a la femme face aux troubles sexuels masculins ?

DOSSIER : 3 articles sur la dysfonction érectile masculines et ses répercussions sur la femme

Les femmes ont été à l’honneur ces derniers jours, et je me suis donc penchée sur les répercussions générées par les troubles sexuels de leur partenaire masculin.

On constate, en effet, que la femme est souvent la grande oubliée du couple, lorsque le partenaire masculin présente une difficulté d’ordre sexuel.

Les dysfonctions sexuelles ont des causes multiples, car nous pouvons chercher, à la fois du côté médical, et d’autre part, psychologique.

De plus, la sexualité dépend en grande partie de la qualité de la relation de couple et surtout, de l’attitude des deux partenaires face à une éventuelle pathologie sexuelle.

Elle sera donc importante dans la gestion de cette dernière mais également, pour sa prise en charge.

Quelles peuvent donc être les répercussions chez la femme, des troubles sexuels de son partenaire masculin ?

Ce n’est que récemment que l’on reconnait la place et le rôle de la partenaire dans l’évolution des troubles sexuels rencontrés par l’homme.

Les études montrent en effet que les dysfonctions sexuelles induisent une baisse significative de la satisfaction sexuelle des deux partenaires et modifient leurs comportements, l’humeur générale et leur qualité de vie.

Les dysfonctions sexuelles masculines peuvent entrainer une répercussion sur la satisfaction sexuelle de sa partenaire, mais également sur son bien-être psychologique global.

Chaque difficulté sexuelle masculine est susceptible d’engendrer des conséquences chez la partenaire.

Nous verrons cela plus en détails dans les prochains articles :

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L’histoire de la méthode Dorn

Comment la méthode Dorn a vu le jour

La Méthode Dorn est née dans un petit village de la région allemande de Bavière il y a près de 40 ans. Elle est aujourd’hui, très respectée et pratiquée par de nombreux thérapeutes. 

Et personnellement, apprendre la MÉTHODE DORN est une véritable bénédiction dans ma vie.

Le créateur de la méthode Dorn

Dieter Dorn (1938-2011) était un propriétaire de scierie né en août 1938 dans le sud de l’Allemagne. 

Il y a plus de 40 ans, il s’est blessé en soulevant une grosse bûche et a par conséquent souffert de douleurs sciatiques. Un vieux fermier local l’a aidé à soulager sa douleur en utilisant des techniques très simples et faciles à utiliser. Il a demandé au vieux guérisseur s’il pouvait également apprendre ces techniques auxquelles le guérisseur a répondu «vous les connaissez déjà», ce qui implique à quel point elles étaient faciles à apprendre et à faire vous-même!


Vous pouvez retrouver cet article sur le net, il est extrait du livre de Thomas Zudrell, la MÉTHODE DORN …

Le premier patient de Dorn était sa femme qui souffrait depuis plusieurs années de graves maux de tête. Selon certains médecins, les apophyses transverses de ses vertèbres cervicales étaient trop longues et pouvaient être raccourcies par chirurgie, mais elle a refusé d’être opérée. 

vertébres et osthéothérapie. Méthode Dorn

Dieter Dorn a vérifié le cou de sa femme et a constaté que les vertèbres n’étaient que tordues et que la radiographie n’était pas une lecture correcte. Il a doucement repoussé les vertèbres en place et depuis lors, ses maux de tête sont de l’histoire ancienne. Elle est depuis devenue la patiente la plus éminente de Dieter Dorn.

Le début de la MÉTHODE DORN

Peu de temps après, Dieter Dorn a aidé de nombreuses personnes du quartier en corrigeant leur longueur de jambe inégale et en alignant leurs articulations. À sa grande surprise, de nombreuses autres affections comme les douleurs aux genoux, les problèmes cardiaques, les problèmes d’audition et d’autres semblent également avoir disparu.

La réponse à tout cela, il a découvert par hasard dans un livre sur la médecine traditionnelle chinoise (MTC), où l’acupuncture et l’acupression faisaient partie des techniques utilisées pour guérir de nombreux maux.

Au cours de ses traitements, il a observé qu’il s’adressait également aux méridiens (voies nerveuses) le long de la colonne vertébrale. En raison de la connexion entre la moelle épinière et les organes internes reliés par les voies nerveuses de la colonne vertébrale, de nombreux problèmes ont disparu lorsque les vertèbres mal alignées ont été corrigées.

Une rencontre qui a fait la différence

En rencontrant et en aidant le Dr Thomas Hansen MD, Dieter Dorn a commencé à se pencher davantage sur l’anatomie et la physiologie. Et ensemble, ils ont exploré les potentiels de cette nouvelle méthode pendant une période prolongée.

Quelques années plus tard, Dieter Dorn a décidé qu’il était temps d’enseigner à d’autres personnes cette merveilleuse méthode. Il a donc commencé à donner des séminaires. Beaucoup ont appris de lui et suivent maintenant ses pas avec le même succès.

Aujourd’hui, la méthode commence à s’étendre dans le milieu médical. De plus en plus de personnes de ce domaine, comme des médecins, des physiothérapeutes, des massothérapeutes, des praticiens non médicaux et des chiropraticiens, assistent à ces séminaires et sont étonnés de ce qu’ils apprennent.

Dieter Dorn a toujours sa scierie, ce qui le rend indépendant et sa personnalité simple et très aimable ne cesse d’impressionner ses élèves.

3 modèles de pensées

Il dit qu’il existe trois types de modèles de pensée dans la vie:

Que puis-je faire pour moi-même? 

Que peut faire quelqu’un d’autre pour moi? •

Que puis-je faire pour les autres?

Dieter Dorn vit avec le troisième. «Nous sommes nés pour les autres, sinon notre vie n’a aucun sens», selon lui. C’est un chemin plein d ‘«épines» (Thorn se traduit en allemand par «Dorn»). C’est peut-être pour cela que la méthode s’appelle «DORN METHOD», plaisante-t-il.  En allemand, les processus épineux sont appelés Dorn Fortsaetze, en termes médicaux, n’est-ce pas une coïncidence?

Certains des premiers étudiants de Dieter Dorn, comme Harald Fleig et Helmuth Koch, ont commencé à donner seuls des séminaires DORN METHOD, contribuant ainsi de manière importante à la diffusion rapide des connaissances sur cette thérapie fantastique.

Hildegard Steinhauser a appris la Méthode il y a de nombreuses années et, avec son partenaire de vie, Helmuth Koch, un non-médecin bien connu à Lindau, dans le sud de l’Allemagne. Ils sont désormais à l’avant-garde de la mission de rendre la MÉTHODE DORN populaire et reconnue par la communauté médicale. 

En tant que professeur de Reiki et formée à l’acupuncture, Hildegard Steinhauser dit qu’elle pense que l’apprentissage de la MÉTHODE DORN a été un véritable jalon dans sa vie de guérisseuse. Et grâce à Dieter Dorn, cela devient maintenant une véritable bénédiction pour l’humanité.

Je vous laisse à présent revenir à la page de cette prestation.

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Belles citations et développement personnel

Toutes les citations de cette page sont issues de recherches de développement personnel et sont parues sur mon blog HEMASSENS VIE POSITIVE ainsi que sur ma Page Facebook « Apprendre à s’aimer, attirer à soi ce que l’on veut vivre !

Quelques images vous relieront à l’article entier qui s’y rapporte !

Lisez-les, partagez-les autour de vous, méditez dessus, commentez-les… Merci pour votre intérêt !

J’espère que vous trouverez votre bonheur ! Pensez à revenir de temps en temps, la liste s’étoffera au fil du temps !


Accorder de la valeur à nos besoins

Il ne peut y avoir de relation intime et étroite entre deux personnes que si elles peuvent se dire ce qu’elles veulent et ce dont elles ont besoin.


Aimer, c’est aimer que l’autre soit heureux

Aimer, c’est aimer que l’autre soit heureux, et tout faire pour son bonheur, y compris lui donner du temps.


Aller de l’avant

C’est en changeant soi-même, en se permettant de grandir pendant que les autres trouvent leur propre chemin, que l’on aura une influence des plus positives sur ceux que l’on aime.


Apprenons à laisser aux autres et à nous-mêmes, suffisamment de liberté pour éprouver des sentiments et les reconnaître pour ce qu’ils sont.


Apprenons à nous accepter

Apprenons à nous accepter nous-mêmes tels que nous sommes réellement.

Acceptons nos émotions, nos pensées, nos failles, nos lacunes, nos besoins et nos désirs.


Apprenons à prendre conscience

Apprenons à prendre conscience que nous méritons d’être aimés et que nous pouvons donner de l’amour, et en recevoir.


Apprenons à trouver l’équilibre

Apprenons à trouver l’équilibre, entre renoncer à ses espérances et savoir au fond de soi que l’on mérite de vivre correctement sa vie.


Aucun chemin de vie n’est en soi plus difficile, pire ou meilleur qu’un autre.

Sauf si nous le rendons tel !


Aucune relation n’est une perte de temps

Aucune relation n’est une perte de temps si elle ne t’a pas apporté ce que tu voulais, elle t’a au moins enseigné ce que tu ne voulais pas.


Avant de pouvoir changer les événements

Avant de pouvoir changer les événements que nous attirons dans notre vie, nous devons d’abord modifier notre nature, car nous n’attirons jamais à nous, autre chose que ce que nous sommes.


Bien des gens dans ce monde sont indépendants, mais très peu sont libres.

Krisnamurti


Le bonheur

Bonheur et malheur résident dans la manière dont nous prenons les choses, non dans la nature même des choses.


La douleur d’aimer

Ce n’est que l’écart entre les espoirs de l’un, et les refus de l’autre, qui crée l’angoisse et la douleur d’aimer.


Cessez de faire plaisir uniquement aux autres… Et si vous commenciez à vous faire plaisir ?


C’est en se prenant soi-même dans les bras qu’on étreint le monde entier.

Goethe


Choisissez-vous de vivre dans le passé ?

Ou préférez-vous régler les questions en suspens… Et vous ouvrir à la beauté d’aujourd’hui ?


Du pouvoir et de la liberté

Donnons du pouvoir et de la liberté à notre côté affectif…

Plutôt que de contrôler nos émotions.

Prenons soin de nous dans nos relations.


Emotion bloquée

La plupart des détresses ont pour cause, une émotion bloquée.

Taire son intérieur, c’est abdiquer une part de notre liberté.


L’enfant en nous

Elle est difficile à avaler cette idée qu’il existe en nous, un enfant qui souffre, un enfant qui voudrait toujours que son papa l’admire et que sa maman le prenne dans ses bras.


Les mauvaises raisons

Ne sautons pas à pieds joints dans des relations pour de mauvaises raisons.

Car une fois engagés, nous risquons de nous rendre compte que nous n’étions pas prêts et nous nous sentirons pris au piège.

Apprenons à peser le pour et le contre avant toute chose par honnêteté et respect pour les autres et nous-mêmes.


Être soi-même

C’est cela aussi, apprendre à s’aimer, s’approprier le pouvoir d’être soi-même afin que les personnes qui restent, le décident car elles vous aiment vraiment, vous, et non l’image que vous leur donnez.

D’autres citations arrivent……. à bientôt !